
Notre histoire
Les défis de la culture cellulaire manuelle
Julien a identifié trois obstacles systémiques qui limitent l’efficacité et la rigueur de la recherche cellulaire :
- Une perte de valeur ajoutée scientifique : chaque heure passée sur de la routine manuelle est une heure de moins pour l’analyse, la réflexion, ou la conception d’expériences.
- Un manque de reproductibilité : les gestes manuels varient d’un opérateur à l’autre. Ces variations, souvent invisibles, compromettent la fiabilité des résultats et la reproductibilité des expériences, qui sont des piliers fondamentaux de la science.
- Un risque accru de contamination : plus il y a d’interventions humaines, plus le risque de compromettre une expérience augmente. Une contamination suffit à anéantir des jours, des semaines, voire des mois de travail.
La réponse évidente à ces défis était d’automatiser les aspects manuels de la culture cellulaire.
Mais Julien s’est vite rendu compte que les solutions existantes n’étaient pas adaptées aux besoins des laboratoires de R&D : elles étaient inaccessibles et trop complexes à utiliser.
Ce constat a été le point de départ de Cellaven.


Notre innovation: une automatisation abordable, compacte, et facile à utiliser, spécialement conçue pour la R&D.
- Abordable : parce que l’automatisation doit être accessible aux laboratoires de toutes tailles, et non un luxe réservé à quelques-uns
- Compact : il tient sur une feuille A3, car l’espace est toujours une contrainte dans les laboratoires.
- Compatible : pas de consommables propriétaires, pas de protocoles à réécrire. La machine s’adapte aux flasques et plaques standards, et respecte les habitudes de chaque chercheur.
- Simple à utiliser : pas besoin d’être ingénieur ou informaticien pour l’utiliser au quotidien. Tout a été pensé pour une prise en main rapide par les biologistes eux-mêmes.
Du garage familial à une présence européenne
